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2021

puissance nucléaire pays

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Cet essai est suivi de cinq autres essais entre 2009 et 2017 et du lancement de missiles balistiques, provoquant des tensions sont extrêmes avec les États-Unis. À fin 2019, le traité a été ratifié par 191 États. Voici une représentation graphique de la puissance électrique installée issue du nucléaire du groupe EDF en 2017, par pays (hors France). Des velléités d'accès au nucléaire militaire ont toutefois existé dans les années 1950 et 1960. Un cessez-le-feu entre l'Afrique du Sud, Cuba et l'Angola en août 1988 et le retrait des troupes sud-africaines de l'Angola conduisent à un accord tripartite entre ces nations, au retrait de 50 000 soldats cubains de l'Angola et à l'indépendance de la Namibie. Cette politique est partie intégrante de la stratégie de dissuasion d'Israël. En 2014, elle représente 10,8 % de la production mondiale d'électricité[2]. Outre la Russie trois des nouveaux États issus de l'URSS ont sur leur sol des armes nucléaires stratégiques : la Biélorussie, le Kazakhstan et l'Ukraine[21],[22]. Plus généralement, les scénarios de l’AIE « prévoient » soit un tassement de la part du nucléaire dans cette production, soit sa faible progression. Quelles sont les 10 pays les plus puissants en terme d'armes nucléaires? A l’échelle mondiale (tous pays confondus), à l’horizon 2030 on constate que la part du nucléaire dans la production électrique mondiale ne dépasserait pas 10 %. En procédant à un premier essai nucléaire en 2006, elle est le neuvième État à accéder au rang de puissance nucléaire. Ces incertitudes relatives à la non-prolifération nucléaire au Moyen-orient affaiblissent le TNP[38],[39],[40]. Faits, idées fausses et perspectives. Elle initie en 1971 un projet d'explosion nucléaire civil pour emploi dans l'industrie minière, autorisé par l'article V du TNP, bien que sur le plan technique rien ne le distingue d'une explosion dans un dessein militaire[86]. Bien que l'Inde, le Pakistan et la Chine aient historiquement soutenu l'idée d'abolir les armes nucléaires, les trois nations se sont engagées durant ce siècle sur la voie d' un renforcement constant de leurs capacités stratégiques. La création d'une zone exempte d'armes nucléaires au Moyen-Orient est au point mort depuis qu'en 1995 une résolution en ce sens est adoptée dans le cadre de la conférence quinquennale d'examen du TNP[c]. Dans le tableau ci-contre figurent les huit États qui ont poussé loin leur programme nucléaire militaire : Afrique du Sud, Brésil, Corée du Sud, Iran, Irak, Libye, Syrie et Yougoslavie. Durant la campagne électorale pour les présidentielles de 2016, Donald Trump parle du JCPoA comme le pire accord jamais négocié et s'engage à le renégocier. Tout en poursuivant le programme nucléaire américain, Truman engage les États-Unis sur la voie de l'interdiction des armes nucléaires dans le cadre des Nations unies nouvellement créées, où en juin 1946, les États-Unis présentent un plan, dit plan Baruch, faisant des propositions de contrôle des matières fissiles et d'arrêt du développement des armes nucléaires[1]. L'acquisition de vecteurs capables d'emporter une charge nucléaire n'est pas difficile puisque le commerce des missiles n'est pas couvert par le traité sur la non-prolifération nucléaire. Mise en place d'un cadre global de lutte contre la prolifération, Échecs et succès de la non-prolifération dans les années 1980, Années 1990, transition vers un monde multipolaire, Des progrès limités dans la lutte contre la prolifération. Le pays assemble sa première bombe nucléaire complète en 1982 et en possède six en 1989[26]. Comparativement à celui des États-Unis ou de l'Union soviétique, l'arsenal des trois autres est réduit [2], mais jugé suffisant pour faire jouer la dissuasion nucléaire dans une optique purement défensive et de stricte suffisance largement théorisée en France[5]. Classement des États du monde par indice de puissance militaire 02. Pourtant, la capacité qu'aurait l'Irak à s'équiper d'armes nucléaires en quelques années est mise en avant par l'administration Bush pour justifier l'invasion de l'Irak en 2003. Lorsque l'Inde fait exploser cinq bombes nucléaires du 11 au 13 mai 1998, le Pakistan réplique immédiatement par six essais entre le 28 et le 30 mai 1998, démontrant ainsi la maturité de son programme et que sa principale raison d'être est de dissuader l'Inde[62],[29]. La Russie n’est pas en reste. La chute des régimes communistes en Europe et la dislocation de l'URSS marquent la fin de la guerre froide. La France crée le Commissariat à l'énergie atomique dès 1945, mais ce n'est qu'en 1954 que le gouvernement de Pierre Mendès-France ouvre la voie au programme nucléaire militaire français, orientation confirmée en 1958 par Charles de Gaulle peu après son retour au pouvoir. À son entrée en vigueur en mars 1970, 46 États l'ont signé dont des États qui ont mené un programme nucléaire comme la Corée du Sud, l'Iran, l'Iraq, la Suède[19] ou la Suisse. Le programme secret d'armes nucléaires de Taiwan est abandonné sous la pression américaine. En mars 1963, Kennedy exprime publiquement sa crainte que, dans les années 1970, jusqu'à 25 nations aient des armes nucléaires[14]. Malgré ce dessein, la Libye ratifie le TNP en 1975. L'Arabie saoudite ratifie le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) en 1988. La guerre des Malouines précipite le retour en 1983 d'un régime démocratique qui replace tout le programme nucléaire entre les mains des autorités politiques civiles et initie un programme de mesures de confiance et de coopération avec son grand voisin et rival, le Brésil avec lequel des accords complets sont conclus en 1991 qui mettent fin à la rivalité nucléaire militaire entre les deux États. À partir de 1983, les négociations avec l'Argentine prennent le pas sur les projets militaires qui sont finalement stoppés en 1990. Les vecteurs nucléaires du Pakistan sont une centaine de missiles à courte ou moyenne portée et d'une trentaine d'avions de type Mirage III/V et F-16[63]. Dans les années 2010, le pays possède 225 têtes nucléaires portées par ses seuls SNLE depuis le retrait de la composante aérienne[64],[65],[66]. En 2007, Israël mêne un raid aérien pour détruire une centrale en construction sur le site d'Al-Kibar près de Deir ez-Zor, capable de produire du plutonium en quantité suffisante pour la fabrication d'armes nucléaires. Le traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE) signé en 1996 n'est toujours pas ratifié. La Libye réussit toutefois à obtenir l'aide du pakistanais Abdul Qadeer Khan et de quelques scientifiques européens pour maîtriser les techniques d'enrichissement de l'uranium et de fabrication d'une arme nucléaire. La RFA rejoint finalement le TNP en 1975[70],[71]. . : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Le Pakistan a également investi dans des armes nucléaires. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Saoudiens considèrent l’Iran, à tort ou à raison, comme une menace existentielle[87]. La Chine est aujourd’hui, clairement, la puissance montante dans le nucléaire civil. Le Brésil mène entre 1975 et 1990 un important programme nucléaire civil, en parallèle duquel un programme nucléaire militaire est également conduit. 48 Au total, trois lots de seize missiles sont portés par les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engin (SNLE… 3 pays sont sur le seuil de l’arme nucléaire (Japon, Iran, Corée du Nord), 1 seul pays la posséderait « illégalement » au terme du droit international (Israël). Les recherches sont activement poursuivies durant les années 1950 et 1960, permettant à la Suède d'acquérir toutes les compétences requises pour fabriquer des armes nucléaires, sans que ne soit engagées les étapes concrètes de leur production. L'Italie entreprend un programme nucléaire civil ambitieux et, entre 1950 et 1975, un programme militaire concentré sur la propulsion nucléaire navale et le missile balistique alfa, mais limité sur la bombe, car les autorités politiques privilégient la voie de la participation très active aux plans nucléaires des États-unis dans le cadre de l'OTAN, espérant se faire une place dans les processus de décision[g]. Nombre de réacteurs nucléaires « opérationnels » par pays, au 16 mars 2017. Les pays possédant la bombe nucléaire sont classés par : Etats possédant officiellement l'arme nucléaire selon le Traité de la Non-Prolifération des armes nucléaires (traité conclu en 1968 et signé par de nombreux pays) Etats reconnus posséder l'arme nucléaire mais n'ayant pas signé le TNP. Après la défaite de l'Iraq dans la guerre du Golfe de 1991, l'AIEA entreprend des inspections et conclut en 1997 que le programme irakien est démantelé[77]. Les inspections conduites par les États-Unis en 1964 et 1965 sur le site de Dimona ne leur permettent pas de mettre en évidence l'existence d'un programme nucléaire militaire[57]. En 2020, elles disposent chacune d'une force nucléaire opérationnelle constituée d'environ 150 ogives nucléaires, de missiles à moyenne portée et d'avions porteurs. Durant la guerre froide, la plupart des États capables de développer l'arme nucléaire préfèrent assurer leur sécurité par le biais d'alliances avec les États-Unis. Il dénonce les attentats du 11 septembre 2001, puis en mars 2003, peu avant l'invasion de l'Irak par les Américains, il avertit les États-Unis et le Royaume-Uni de sa volonté d'arrêter son programme nucléaire. Staline lance l'URSS dans la course aux armements nucléaires. À la fin des années 1970, le pays possède un stock de 500 bombes nucléaires mises en œuvre par la RAF et les SNLE Resolution de la Royal Navy. Ces « régimes de fournisseurs » sont des clubs informels d'États qui s'accordent sur des règles communes à respecter dans le domaine des exportations des biens et des technologies pouvant contribuer au développement, à l’acquisition et à l’utilisation des armes nucléaires[33],[34]. L'Allemagne de l'Ouest entreprend un vaste programme nucléaire de recherche et de production d'énergie au milieu des années 1950 et met en service un premier réacteur de recherche en 1957. La Suisse, qui a préconisé de se doter d'un armement nucléaire, a construit des installations pour l'enrichissement de l'uranium, puis a pris des contacts avec l'état-major de l'armée française pour acquérir une arme nucléaire avant d'abandonner le projet au milieu des années 1960[100]. La dernière modification de cette page a été faite le 20 septembre 2020 à 10:55. L'Iran, à l'époque dirigée par le Shah et proche allié des États-Unis, ratifie le TNP en 1970. 2017, When Did (and Didn't) States Proliferate? La puissance nucléaire installée pourrait être de 80 à 120 GW(e) dans les pays en voie de développement membres du CAEM. La Loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit la modernisation de ces deux composantes[54]. Le nucléaire ne représente pourtant actuellement qu’environ 2 % du mix électrique en Chine et encore moins en Inde. 2020, When Did (and Didn’t) States Proliferate? En 2019, le stock d'armes nucléaires des États-Unis compte environ 6 185 têtes dont 1 600 sont déployées opérationnellement au sein des forces stratégiques et 150 sont des armes dites tactiques déployées sur le sol européen dans six pays de l'OTAN[2],[49]. En revanche, l'Inde et le Pakistan font exploser des bombes nucléaires en 1998, montrant que dans le domaine nucléaire comme dans les autres dimensions de la géopolitique, la transition vers un monde multipolaire est en marche. Les États-Unis n'ont pu empêcher le Royaume-Uni, associé un temps au projet Manhattan, de poursuivre seul son programme nucléaire, puis la France de conduire son programme nucléaire militaire avec un haut degré de priorité à partir de 1954 sans l'aide américaine. Après deux ans de négociations, Américains et Soviétiques parviennent à un accord sur un texte commun. 2017, Philipp C. Bleek - When Did (and Didn’t) States Proliferate? Après la guerre froide, le Royaume-Uni s'oriente vers une politique de stricte suffisance. Pays ayant ou ayant conduit un programme nucléaire militaire, « le TIAN est un texte inadapté au contexte sécuritaire international marqué par la résurgence des menaces d’emploi de la force, le réarmement nucléaire russe, les tensions régionales et les crises de prolifération », « la dissuasion nucléaire demeure la clé de voûte de notre stratégie de défense », « l'Arabie saoudite ne veut pas acquérir de bombe nucléaire, mais sans aucun doute, si l'Iran développe une bombe nucléaire, nous suivrons le mouvement dès que possible ». En 2011, l'électricité d’origine nucléaire représente un peu plus de 12 % de l’électricité mondiale, et 5,3 % de l’énergie totale consommée dans le monde[1]. Les pays détenteurs de la force nucléaire possèdent 13 865 ogives, soit 600 de moins que début 2018, selon le rapport publié lundi 17 juin par l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri). Notons que le parc nucléaire japonais, malgré ses 42 unités « opérationnelles », n'a compté que 2,1% de la production électrique dans ce pays en 2016, en raison de nombreux réacteurs toujours à l'arrêt six ans après l'accident de Fukushima. Depuis l'entrée en vigueur du TNP, deux États, l'Inde et le Pakistan, qui ne l'ont pas signé, effectuent en 1998 leurs premiers essais d'armes nucléaires et disposent d'une force nucléaire opérationnelle. Toutefois, deux accords restreignent le commerce balistique : le Régime de contrôle de la technologie des missiles (MTCR) établi en 1987, et le Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques (HCOC) établi en 2002. Israël, soutenu par les États-Unis, conditionne sa participation au règlement préalable du conflit israélo-palestinien. En 2003, l'AIEA alerte sur les activités d'enrichissement de l'uranium, et conclut en 2005 que l'Iran ne respecte pas l'accord de garanties qui les lie. Six nouvelles tranches ont été mises en service en 2019: trois en Russie, deux en Chine et une en Corée du Sud. 8 pays possèdent l'arme atomique. Alors que la Chine,l’Inde et le Pakistan en aligneraient chacun une centaine. La première, avec 29 réacteurs représentant une puissance de 26 MW, a produit 124 TWh d’électricité nucléaire en 2014. Le traité sur l'interdiction des armes nucléaires (TIAN) est adopté à l'Assemblée générale de l'ONU en 2017 par 122 voix pour sur 124 votes[41],[42]. Au 3 août 2015, la puissance électrique installée du parc nucléaire mondial s’élève à près de 378 GW. En 2019, sa part dans la production mondiale d'électricité est de 10,1 %[3]. La Corée du Nord est le seul pays qui ait acquis l'arme nucléaire après avoir ratifié le TNP, qu'elle a toutefois dénoncé en 2003. Par exemple, hors cadre de l'OTAN, un projet de recherche nucléaire militaire est monté en 1957 par la France, l'Italie et la RFA, mais de Gaulle y met rapidement fin en 1958. Le monde entre dans l'ère nucléaire le 16 juillet 1945, quand les forces armées des États-Unis réalisent avec succès le premier essai (Trinity) d'une arme nucléaire dans le cadre du projet Manhattan, prélude aux bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki. Principales sources d'informations en l'absence de source officielle israélienne, les sites spécialisés NTI et Bulletin of the Atomic Scientists, ainsi qu'un article paru dans Der Spiegel en 2012, font aussi état de ce que les sous-marins de la Classe Dolphin acquis en Allemagne ont été équipés par les Israéliens de missiles de croisière à tête nucléaire[e],[4],[60],[61]. En 2011, Les responsables du renseignement américain déclarent que l'Iran n'a pas encore décidé de développer des armes nucléaires, mais garde cette option ouverte en accélérant ses activités d'enrichissement, ce que l'AIEA confirme. L'Inde refuse de signer le TNP et réalise en 1974 son premier essai nucléaire, officiellement à but pacifique, mais largement motivé aussi par ses relations difficiles avec ses deux grands voisins, la Chine et le Pakistan. La conférence d'examen de 2010 relance la mise en œuvre de cette résolution en prévoyant notamment la tenue d'une conférence dédiée à cette question en 2012. Les allégations, largement commentées dans les médias en 2015, selon lesquelles l'Arabie saoudite aurait un accord avec le Pakistan auprès de qui elle pourrait acquérir des armes nucléaires en contrepartie de son aide financière ne sont pas confirmées de source officielle[72],[90],[91]. De nouvelles sanctions sont adoptées en 2010 par le Conseil de sécurité. En 1978, la dictature militaire décide de construire à la fois une usine de retraitement du plutonium et des installations d'enrichissement clandestin d'uranium dans une optique militaire. Mais le pays mène un important programme de développement de missiles balistiques. En 1998, l'Inde procède à cinq explosions atomiques et dispose aussi d'avions la dotant d'une capacité nucléaire opérationnelle[55],[28]. En 1968, le roi Idris Ier de Libye, pro-occidental, signe le TNP. Reprenant des propos déjà tenus en 2011 par le prince saoudien Turki Al-Fayçal, le prince héritier Mohammed ben Salmane déclare en 2018 que « l'Arabie saoudite ne veut pas acquérir de bombe nucléaire, mais sans aucun doute, si l'Iran développe une bombe nucléaire, nous suivrons le mouvement dès que possible »[88],[89]. Depuis, ils ont assemblé environ 66 500 têtes nucléaires dont plus de 60 000 ont été démantelées. German Historical Institute Washington, D.C. Persee.fr (article paru dans Annuaire français de droit international), Berlin Information Center for Transatlantic Security (BITS.de), Mission permanente de la France auprès de la Conférence du désarmement à Genève, Liste des États dotés de l'arme nucléaire, Organisation du traité de l'Atlantique nord, Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, Liste des traités de contrôle et de limitation des armements, bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki, Dissuasion et prolifération nucléaires pendant la guerre froide, relations entre les deux pays se détériorent, Traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, Traité de désarmement sur le fond des mers et des océans, Traité d'interdiction complète des essais nucléaires, Accord de Vienne sur le nucléaire iranien, Traité sur l’interdiction des armes nucléaires, Agence internationale de l'énergie atomique, traité d'interdiction partielle des essais nucléaires, traité sur la non-prolifération nucléaire, traité d'interdiction complète des essais nucléaires, Dissuasion et prolifération nucléaires au XXIe siècle, régimes multilatéraux de contrôle des exportations, Régime de contrôle de la technologie des missiles, Code de conduite de La Haye contre la prolifération des missiles balistiques, traité sur l'interdiction des armes nucléaires, Corée du Nord et armes de destruction massive, Histoire du programme nucléaire militaire de la France, programme nucléaire de recherche et de production d'énergie, Arabie saoudite aurait un accord avec le Pakistan, bombarde le réacteur nucléaire irakien à Osirak, The Causes of Nuclear Weapons Proliferation 2011, Tertrais - La dissuasion nucléaire française après la guerre froide 2000, Tertrais - La France et la dissuasion nucléaire 2017, L’arme nucléaire dans le monde, 50 ans après l’adoption du Traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP) 2018, Global nuclear weapons inventories, 1945–2013, Maîtrise des armements et missiles : quelles perspectives après la disparition du Traité FNI ? La France est la deuxième puissance nucléaire au monde, après les Etats-Unis. La Chine procède en 1964 à son premier essai devenant ainsi la cinquième puissance nucléaire dans le monde. Le premier essai nucléaire français, Gerboise bleue, est effectué en 1960 dans le Sahara algérien[51]. On sait peu de choses sur leurs armes atomiques et l’arsenal du pays. En août 1963, les deux Grands et le Royaume-Uni signent le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires (TIPN) qui présente le double intérêt de montrer pour la première fois leur capacité à coopérer dans le domaine nucléaire, sans qu'il leur en coûte puisqu'ils peuvent mener des essais souterrains, et de poser un premier jalon de lutte contre la prolifération, bien que ni la France, ni la Chine ne le signent[15],[16]. Le fait que les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU aient voulu détenir l'arme nucléaire illustre le fait que la posséder est perçu avant tout comme une condition sine qua non pour peser dans les relations internationales. Le sujet est devenu tabou dans la culture politique du pays et dans la population[58],[4],[d]. Malgré les dénégations syriennes, l'AIEA confirme en 2011 l'existence de ce site[101]. Pays détenteurs, nombre d'ogives et date clés, Le Figaro revient sur cinq points essentiels de la puissance nucléaire dans le monde. Au début des années 2000, le pays commence à enrichir de l'uranium[80]. Sans accès à des sources israéliennes officielles d’Israël, il est impossible de savoir exactement depuis quand Israël possède une arme nucléaire : les estimations vont de 1965 à 1968, la date la plus souvent citée est 1967. L'Afrique du Sud est le seul pays à avoir construit des armes nucléaires puis à les avoir démantelées volontairement[26]. Comme le révèlent les études de l’Agence Internationale de l’Energie, les pays développant une filière nucléaire (« les nouveaux entrants ») sont plus nombreux que ceux qui se désengagent de l’atome. Leur nombre s'envole à respectivement 12 000 et 26 000 en 1970[49]. Le premier essai d'une bombe A a lieu en 1949. Le programme nucléaire de l'Iran, État signataire du TNP sous le régime du Shah, est le sujet de vives tensions internationales depuis 2006. Durant la première moitié des années 2000, les agences de renseignement américaines et israéliennes soupçonnent la Syrie de mener secrètement des recherches dans un but militaire. L’Asiedevient le lieu de tous les dangers avec le Pakistan, seul pays musulman à posséder la bombe, dont la sécurité des installations n’est pas garantie. Le nombre d'armes nucléaires a diminué début 2019 par rapport à l'année dernière. La Marine, historiquement en pointe sur les activités nucléaires et notamment d'enrichissement d'uranium, poursuit avec la participation de la France le développement d'un sous-marin à propulsion nucléaire, redevenu prioritaire depuis l'élection de Bolsonaro, faisant du Brésil le seul État non doté d'armes nucléaires à en développer[95],[96],[97]. Depuis que la France a renoncé aux missiles sol-sol, dans les années 1990, l'arsenal nucléaire se décline en deux composantes : la force océanique, dirigée par la marine (les sous-marins nucléaires lanceurs d'engin basés à l'île Longue, près de Brest, ainsi que certains avions) et la force aérienne, dirigée par l'armée de l'air. La plus grande puissance militaire musulmane possède une économie et une population inférieure à sa rivale Inde, mais à créer un « équilibre de la terreur » en Asie du Sud. La dernière modification de cette page a été faite le 1 février 2021 à 17:02. En outre, 30 nouveaux États signent le TNP au cours de la décennie, dont la Corée du Nord[14]. La Conférence du désarmement à Genève[36] et la Commission du désarmement de l'ONU[37],[34]. Selon cette étude, 31 États se sont lancés dans cette entreprise, 17 ont monté un programme en vue de fabriquer des armes nucléaires et 10 sont allés au bout de cette démarche[85]. », « Israël ne sera pas le premier pays à introduire l'arme nucléaire au Proche-Orient. À cette date, une dizaine d'États, outre les cinq puissances nucléaires, poursuivent des recherches nucléaires militaires. En 2018, Israël publie des données détaillées admettant ainsi officiellement avoir mené ce raid. Les progrès sont lents en raison du refus de la plupart des pays. Même si des divergences de vues existent, ces trois États sont les piliers de l'Alliance atlantique garante de la sécurité du monde occidental. Sept d'entre eux y ont renoncé, en revanche le programme de l'Iran est — avec la Corée du Nord — l'un des deux points chauds en 2020 de la prolifération nucléaire[85]. Israël fabrique, probablement avant la guerre des Six Jours en 1967, trois bombes nucléaires rudimentaires mais susceptibles d'être larguées d'avion[4]. En revanche, l'Afrique du Sud, la Chine, la Corée du Nord, la France, l'Inde et Israël ne l'ont à cette date pas signé. Son niveau scientifique limité conduit la Libye à chercher à acquérir auprès d'autres pays les ressources et les technologies d'enrichissement qui lui font défaut. Plus de la moitié de cette capacité se répartit entre 3 pays : les États-Unis, la France et le Japon. En 1981, Israël bombarde le réacteur nucléaire irakien à Osirak, attirant l'attention sur les ambitions nucléaires de Bagdad, mais aussi renforçant la détermination de Hussein à développer secrètement une capacité nucléaire. Bien que l'Iran continue de respecter les termes du JCPoA et que les Européens continuent d'en soutenir la mise en œuvre, les États-Unis se retirent de l'accord en 2018 et mettent en place de nouvelles sanctions très sévères qui pénalisent fortement l'économie et la population iraniennes. Ce plan est rejeté par les Soviétiques qui poussent au maximum le développement de leur bombe atomique et font un premier essai nucléaire en août 1949. Taïwan a par deux fois entrepris un programme secret de recherche nucléaire, entre 1967 et 1976 puis entre 1987 et 1988, auquel il est mis fin sous la pression des États-Unis : Taipei ne peut se passer de la garantie de Washington au maintien de l'indépendance de l'île en dépit des revendications de Pékin est une condition de survie[83]. En 2018, le stock est d'environ 150 têtes nucléaires. Des États à l'époque peu développés comme la Chine ou le Pakistan ont pu avoir la bombe atomique en y consacrant des moyens importants et en bénéficiant d'apports extérieurs publics ou secrets[3]. Par ailleurs, hors cadre de l'OTAN, un projet de recherche nucléaire militaire est monté en 1957 par la France, l'Italie et la RFA, mais de Gaulle y met rapidement fin en 1958. En septembre 2017, les autorités nord-coréennes affirment avoir mené avec succès un test de bombe à hydrogène pouvant équiper un missile balistique intercontinental[48],[31]. Pour autant l'attrait pour les questions nucléaires diminue dans le monde, les enjeux de sécurité nationale passant pour un temps au second plan. La Syrie ratifie le TNP dès 1969. Et pourtant, le 9 octobre 2006, la Corée du Nord est bien devenue la neuvième puissance nucléaire du monde ! Listes de classement de pays par ressources énergétiques, Agence internationale de l'énergie atomique, « L'industrie nucléaire est entrée dans une longue période de stagnation », Data and statistics : World - Electricity 2018, Nuclear Share of Electricity Generation in 2019, Bruttostromerzeugung nach Energieträgern 1990 - 2019 (Production brute d'électricité par source d'énergie, 1990-2019), Institut de recherche énergétique et nucléaire, Liste des réacteurs nucléaires aux États-Unis, Centre de recherche nucléaire de Nahal Soreq, Institut de physique nucléaire du Kazakhstan, Combinat minier et métallurgique de Navoï, Liste des centrales nucléaires en Allemagne, Liste des réacteurs nucléaires en Autriche, Liste des centrales nucléaires en Belgique, Liste des centrales nucléaires en Espagne, Liste des centrales nucléaires en Finlande, Liste des réacteurs nucléaires au Royaume-Uni, Liste des centrales nucléaires en Ukraine, Portail de l’électricité et de l’électronique, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_pays_par_production_d%27énergie_nucléaire&oldid=174867633, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Électricité et électronique/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Enfin, l'Arabie saoudite figure dans cette liste car son intérêt pour le nucléaire alors que son grand rival au Moyen-Orient, l'Iran, pourrait acquérir l'arme nucléaire à un terme rapproché, suscite beaucoup d'interrogations depuis 2019. Une partie de la classe politique allemande le souhaite, mais les États-Unis comme l'URSS y sont totalement opposés. La Revue stratégique de défense et de sécurité nationale 2017 réaffirme que « la dissuasion nucléaire demeure la clé de voûte de notre stratégie de défense »[52]. Les dirigeants de la République islamique d'Iran relancent le programme en 1984. Depuis 1999, elle soutient la création d'une ZEAN au Moyen-Orient[72]. Les États-Unis et l'Union soviétique entament une course aux armements nucléaires qui dure jusque dans les années 1980 et ne connaît une certaine modération que durant les dernières années de la guerre froide. Les pays non présents dans ce classement ont un pourcentage d'énergie nucléaire de 0 %. En 1955, l'URSS possède 200 bombes nucléaires contre 2 400 aux États-Unis. La Russie hérite fin 1991 de la plus grande partie du complexe militaro-industriel nucléaire de l'URSS. En 2018, l'Inde possède environ 130 têtes nucléaires ainsi que d'une cinquantaine d'avions et autant de missiles à courte ou moyenne portée à capacité nucléaire.

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